Est-ce que vos textes sont endormants à mourir? Est-ce qu’ils manquent de vie? Si la nature de vos contenus ne vous stimule pas, il est peut-être temps d’y remédier. Voici 4 façons de faire fleurir vos contenus.

Pour que vos clients poussent comme les tournesols, ça vous prend un contenu riche en nutriments : ton, humour, créativité.
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Préparer la terre

De quoi voulez-vous parler? Quel est l’objectif de votre texte? Faites l’inventaire des sous-sujets à aborder? Peut-être que commencer par les titres des sections peut vous aider? N’oubliez pas d’inclure des mots-clés dans vos titres si vous publiez sur le web. Les titres aident à donner du rythme, en plus d’informer sur le contenu. De bons titres, originaux et clairs sur le sujet du paragraphe vont influencer positivement la lecture du texte. C’est comme si vous guidiez le lecteur jusqu’à la fin. Une bonne préparation vous permettra d’être plus efficace dans votre production de contenu. Vous irez plus vite et surtout, vous n’oublierez rien.

Ajouter un engrais naturel

Quel est le ton de votre entreprise? Si vous ne le savez pas encore, voici quelques questions pour le découvrir. Quelles sont vos valeurs? De quelle façon aidez-vous vos clients? Quelle est votre promesse? Qu’est-ce qui vous distingue de la compétition? Si votre compagnie était une voiture, un animal, une vedette, un style de musique? Qu’est-ce que ce serait et surtout, pourquoi? Ici, l’authenticité est la clé.  Parce que le ton c’est la façon dont seule votre entreprise peut parler. En quoi votre texte ne peut pas avoir été écrit par votre compétiteur? Est-ce que votre positionnement et vos valeurs sont véhiculés à travers les mots utilisés? Est-ce que vous avez une personnalité ou votre texte semble avoir été écrit par un robot?

Arroser d’humour

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi l’humour était aussi présent dans les campagnes publicitaires au Québec? C’est simple, ça crée un capital de sympathie, ça aide à se souvenir du produit et ça démarque. Mais vous n’êtes pas obligé de créer une publicité télé pour faire ça. Vous avez simplement à saupoudrer une petite dose d’humour dans vos contenus. Pas nécessaire de faire un gros gag. Un jeu de mots, une question inattendue, un contre-emploi, une phrase qui fait sourire sont autant de façons de rendre vos textes plus intéressants. Êtes-vous capable d’utiliser l’humour en personne avec vos clients? Et si vous le faisiez aussi dans vos textes?

Ensoleiller de créativité

Amusez-vous! Les gens apprécient une touche d’originalité. Malheureusement, il y a trop de textes beiges qui se ressemblent tous. Oser être différent, c’est une façon  de créer de l’attachement envers votre marque. Pour créer vos produits ou vos services, vous utilisez votre créativité. Pour résoudre des problèmes aussi. Pourquoi ne pas canaliser cette façon de penser dans la création de vos textes? Quelle métaphore peut servir votre propos? Quelle histoire pouvez-vous raconter pour illustrer votre point? Comment pouvez-vous dire que vous êtes professionnel de dix façons différentes? Allez-y, vous êtes capable! Le problème avec la créativité, c’est la lâcheté du cerveau. On prend souvent la première idée qui passe au lieu d’en sortir 25.

J’espère que ces quelques trucs simples vous aideront à mettre les deux mains dans le terreau fertile de vos contenus. En poussant plus loin votre réflexion, vous récolterez des fruits. Et les fruits, c’est bon pour la santé!

Comment améliorer vos textes? Comment susciter une réaction positive au contenu d’un courriel ou d’un dépliant? Comment être plus marketing? Ce sont quelques questions auxquelles je répondrai dans ce billet. Parce que rien n’est plus ennuyant qu’un texte plate, voici 9 trucs simples pour y ajouter un peu de couleur.

Ajoutez de la couleur à vos contenus

Ciblez. Ça peut paraitre évident, mais combien de clients me disent qu’ils s’adressent à tout le monde. Ce n’est pas vrai. Vous avez un public naturel ou une clientèle que vous voulez développer. C’est important de savoir à qui l’on s’adresse pour pouvoir développer un persona. C’est un portait détaillé qui définit l’âge, le sexe, mais surtout les goûts, la personnalité et les habitudes de consommation de notre cible. Ensuite, on peut écrire dans le langage de celui à qui l’on s’adresse en empruntant ses expressions et en misant sur sa réalité. Une jeune mère de famille a des considérations très différentes d’un baby-boomer qui veut profiter de sa retraite. Cibler, c’est augmenter les probabilités de toucher sa cible.

Vulgarisez. Oubliez le jargon compliqué et les mots à 100 piasses. Simplifiez votre langage. Rappelez-vous l’adage suivant : « Si vous ne pouvez pas expliquer une chose simplement, c’est que vous ne la comprenez pas assez. »  Ce n’est pas de moi, mais d’un certain Einstein. Votre travail est de susciter assez d’intérêt pour que l’on entre en contact avec vous. Ensuite, vous pourrez entrer dans le détail et intégrer votre vocabulaire plus technique. Soyez intéressant, n’ennuyez pas votre client avec des informations trop précises dont il n’a pas besoin à la première approche.

Parlez d’avantages pour le client. Au lieu de dire que vous êtes un spécialiste en stratégie d’affaires, dites plutôt que vous ferez économiser du temps et de l’argent à votre client. En pub, on dit : « What’s in it for me? ». Trop parler de vous peut devenir lassant. Par contre, en expliquant comment vous régler le problème de votre client, vous captez son attention et il continuera (peut-être) de vous lire.

Utilisez des analogies. Les comparaisons et les associations d’idées ont l’avantage d’évoquer des images compréhensibles que tout le monde connait. En stimulant l’imaginaire, vous associez votre entreprise à la créativité. Les métaphores et les symboles facilitent la compréhension. Par exemple, un planificateur financier peut se présenter comme un phare qui éclaire la direction des chefs d’entreprise qui voguent dans le brouillard des assurances collectives. C’est une façon simple de faire comprendre rapidement ce que vous faites.

Coupez dans le gras. Il y a toujours des mots superflus. Si vos phrases contiennent plus de trois virgules, elles sont trop longues. Si vos paragraphes font plus de 8 à 10 lignes, ils sont trop longs. Ajoutez un sous-titre accrocheur et faites un autre paragraphe. N’oubliez pas la règle de base, une idée par phrase. Et pour donner du rythme, une succession de courtes phrases peut être très efficace.

Mettez une touche d’humour. Les robots écrivent des textes robotisés. Parce qu’ils n’ont pas d’émotions. Ils ne font pas de blagues. Même si SIRI peut parfois être assez drôle. Ajoutez un petit clin d’œil, un jeu de mots, une phrase qui touche et qui fait réfléchir. En faisant sourire votre public, vous vous rendez sympathique. Ce qui est un pas de plus vers la confiance et éventuellement l’achat. Tout le monde aime les compagnies qui ne se prennent pas au sérieux tout en étant sérieuses sur la qualité.

Partagez vos valeurs. Ce qui vous différencie, ce qui vous tient à cœur, la raison d’être de votre entreprise ne devrait pas se retrouver uniquement dans l’À propos de votre site web. Ça devrait être partout. Il y a plusieurs façons de dire que vous êtes proches de vos clients. Cette complicité doit se sentir dans les mots que vous utilisez. Vos textes sont une occasion de démontrer votre attitude, votre différence, votre mission et votre vision.

Utilisez des synonymes. Ayez un vocabulaire riche et varié. Démontrez votre intelligence dans vos textes. Au lieu de répéter toujours la même chose, dites-le de différentes façons. En cas de doute, optez toujours pour le mot le plus simple et le plus facile à comprendre. Personne ne devrait avoir à sortir un dictionnaire pour comprendre le sens de ce que vous voulez dire.

Racontez une histoire. Tout le monde aime se faire raconter une histoire. Appelez ça storytelling ou marketing de contenu, les publicitaires font ça depuis la nuit des temps. Au lieu d’essayer de vendre votre produit, servez-vous du contexte. Les compagnies de voitures ont très bien compris cela. Elles vont vous présenter un beau film d’une famille qui a du plaisir en vacances au lieu de vous montrer toutes les caractéristiques du produit. Vos clients  et vos employés ont probablement plein d’histoires et d’anecdotes à propos de votre produit ou de votre service, servez-vous-en. C’est idéal pour susciter une émotion.

Vos contenus sont un outil de branding puissant. Votre site web, vos billets de blogue, votre infolettre ou votre dépliant sont autant d’opportunités de vous positionner de façon originale et humaine. Qu’est-ce que des textes beiges et sans âme disent sur votre entreprise? La prochaine fois que vous devrez envoyer une communication à vos clients, réfléchissez à ça. Soyez remarquable au lieu d’être seulement lu. Soyez efficace au lieu d’être seulement informatif. Bref, prenez votre contenu au sérieux.

Depuis environ deux ans, j’envoie chaque mois une infolettre à ma liste de contacts. Sur les 1000 personnes, en moyenne 40 % ouvrent mon courriel. Et mon taux de clic est d’environ 15 %. Tout ça pour dire que je suis plutôt satisfait car le courriel est le dernier rempart du marketing. C’est la permission ultime. Et surtout, ça fait vendre.

Pourquoi envoyer une infolettre ?

  • Annoncer vos nouveaux produits et services.
  • Proposer des offres promotionnelles exclusives.
  • Partager du contenu à valeur ajoutée (billet de blogue, vidéo, infographique, etc.).
  • Renforcer votre lien et la cote d’amour avec vos clients.
  • Augmenter la fréquence d’exposition à votre marque.
  • Sonder votre clientèle et améliorer vos produits.

infolettre

Qu’est-ce qui influence les résultats ?

Plusieurs facteurs peuvent influencer votre taux d’ouverture, votre taux de clic et votre taux de conversion (achat). Voici les principaux.

Le titre. Selon Contently, votre trafic peut varier jusqu’à 500 % selon votre titre. Choisissez-le bien. Il doit capter l’intérêt. Les superlatifs très positifs (meilleur, toujours, plus rapide, plus grand, plus drôle, top, parfait)   ou très négatifs (jamais, pire, rien, stop, éviter, personne) seraient les plus performants. Considérez votre titre comme un slogan qui vend votre contenu.

Le moment de l’envoi. Posez-vous la question suivante :  à quel moment est-il préférable d’envoyer une communication à mon client  ? Moi, je reçois toujours des courriels de Dominos pizza vers 16 h, au moment où je me demande ce que je vais manger pour souper. De mon côté, j’envoie mon infolettre avant 8 h le mardi, mercredi ou jeudi matin. Le lundi matin, tout le monde est inondé de courriels. Et à partir du jeudi après-midi, les gens pensent au week-end. Un moment qui pourrait être pertinent pour un bar par exemple. Bref, réfléchissez à l’emploi du temps de vos cibles et testez.

La fréquence d’envoi. Pas trop souvent. Votre boite de courriels déborde, la mienne aussi. Les consommateurs deviennent vite impatients. Si vous envoyez trop de courriels inintéressants, ils vous bloqueront. Et vous aurez perdu une précieuse adresse courriel. Vous devriez vous contenter d’une à deux fois par mois.

Le contenu. Pertinence et créativité sont de mise. Est-ce que l’information amène de la valeur ajoutée ? Si vous n’avez rien à dire, taisez-vous jusqu’au prochain courriel. Par contre, en préparant un calendrier de publication, vous ne manquerez jamais d’idées. Aussi, il est préférable de tester de votre contenu. Faites deux versions et envoyez-les à une partie de votre liste. Envoyez ensuite la version qui obtient les meilleurs résultats au reste de votre liste. Vous pouvez aussi segmenter vos infolettres en envoyant des versions différentes aux clients, prospects, connaissances, etc.

Le design. Il devrait être adapté pour les tablettes et téléphones intelligents pour en favoriser la lisibilité. Votre infolettre devrait aussi contenir des images et un design simple. Personnellement, 50 % de mes contacts lisent mes courriels sur un téléphone mobile. Si mon design n’était pas adapté, c’est la moitié des efforts qui seraient jetés à la poubelle.

La qualité de votre liste. Il y a plusieurs façons de diviser votre liste d’envoi pour la rendre plus efficace. Vous pouvez la segmenter par intérêt, fréquence d’envoi, type de clients, etc. Il est aussi primordial d’avoir une relation d’affaires avec les gens dont vous possédez l’adresse de courriel. Vous devez également obtenir la permission d’envoyer des courriels comme le stipule la loi C-28.

Vous avez une liste de clients qui vous donnent la permission de communiquer avec eux par courriel ? Qu’est-ce que vous attendez pour vous en servir ? Arrêtez de laisser de l’argent sur la table. Vous avez seulement besoin d’un design d’infolettre et d’un logiciel de gestion tel que CakeMail. Et quelque chose à dire. Pour cette partie-là, je peux toujours vous donner un coup de main.

Le blogue n’a jamais été aussi présent dans les communications d’entreprises. Dans les sites web des journaux, la chronique, les analyses et les blogues y prennent maintenant presque autant de place que les nouvelles. Mais plusieurs entreprises hésitent encore à se lancer dans l’aventure. Par peur, par méconnaissance du média, parce que. Voici donc les 4 pires raisons de ne pas aimer le blogue !

4 mauvaise raisons de ne pas bloguer par Patrick Gopulet

Je ne blogue pas car je n’ai rien à dire.

C’est faux ! Avez-vous déjà recensé toutes les questions que les clients vous posent au téléphone ou en personne ? Une bonne partie de ces questions peut servir de point de départ à un billet de blogue ou une page FAQ. D’ailleurs, votre blogue peut avoir plusieurs objectifs : diffuser des informations non commerciales sur vos produits (trucs et astuces), augmenter votre notoriété en devenant la référence dans votre secteur d’activité, échanger directement avec vos clients, augmenter le trafic vers votre site web, etc. C’est aussi une façon d’humaniser votre entreprise.

Vous n’êtes pas obligé de publier un billet de blogue par semaine. Un par mois, c’est suffisant. L’important, c’est d’être constant. Un bon truc est de préparer vos articles en créant un calendrier de publication. Si vous êtes une compagnie d’entretien ménager, vous pourriez publier des trucs pour préparer sa maison pour l’hiver au mois de novembre. Et au mois d’avril, les musts pour rendre votre cour extérieure plus invitante. En décembre, le guide parfait pour survivre aux fêtes ou un rappel de l’étiquette lorsque l’on reçoit des invités. Chaque saison est propice à publier du nouveau contenu. Faites aussi la liste des fêtes importantes : Pâques, la fête des Pères, la Saint-Valentin, etc. Essayez d’imaginer des articles pertinents et pratiques liés à ces événements. De cette façon, vous aurez toujours quelque chose à dire.

Bloguer, ça coûte cher.

C’est plutôt un investissement qui rapporte. Le blogue doit faire partie d’une stratégie de contenu efficace. Si un client potentiel se retrouve sur le site de votre concurrent, car l’information qu’il cherchait était bien placée et bien référencée dans un billet de blogue,  quel est le prix de cette vente perdue ? Combien vous coûte votre publicité imprimée ? Votre représentant vous rapporte-t-il des ventes ?

Il est  beaucoup plus facile de calculer le retour sur investissement de votre présence web que n’importe quelle autre stratégie média. Vous avez accès, en temps réel, au nombre de vues, de commentaires, de partages sur les réseaux sociaux et de demandes d’information. En planifiant vos contenus de façon annuelle, vous pourrez mieux contrôler les coûts et investir où ça rapporte.

Mais avant d’investir temps et argent dans un blogue, assurez-vous que votre site répond aux meilleurs critères de référencement web. Vous pourriez peut-être en profiter pour le rafraichir, le rendre adaptatif ou améliorer son SEO. Comme votre blogue sera hébergé sur votre site web, vous maximiserez vos chances en ayant un site performant.

Je n’ai pas le temps de m’occuper d’un blogue.

Avez-vous 4 heures par mois ? C’est un minimum que vous devriez investir dans votre développement des affaires sur le web.   2 à 3 heures de rédaction, plus au moins une heure pour diffuser le contenu sur vos médias sociaux et répondre aux commentaires. Si vous n’avez pas la ressource à l’interne, vous pouvez toujours engager un travailleur autonome.

Le temps est toujours une question de perception. Peut-être passez-vous trop de temps à essayer de vendre où vos clients ne sont pas ? Le temps investi dans votre contenu et dans votre présence en ligne vous rapportera. Tôt ou tard, le temps fera son oeuvre. Si vous avez bien travaillé et que vous vous êtes positionné avec les bons mots-clés, votre contenu commencera à remonter dans les résultats de recherche. Les internautes cliqueront sur votre billet de blogue. Ils seront plus informés et auront une meilleure opinion de votre entreprise. Ils seront donc plus chauds à l’idée de consommer ou recommander vos produits ou services.

Le blogue est un investissement à moyen et long terme qui devrait être considéré comme une tribune exceptionnelle pour échanger avec vos clients, tester des idées, faire du service à la clientèle, augmenter votre notoriété et récolter des informations précieuses sur les intérêts de vos clients.

Pas besoin de bloguer, je suis sur Facebook.

Être sur Facebook c’est bien, mais ce n’est pas tout. Ça doit faire partie d’une stratégie de marketing de contenu globale. Contrairement à Facebook, le contenu de votre billet de blogue vous appartient et il restera sur le web pendant plusieurs années. Vous profiterez de ses fruits longtemps après sa publication. Les médias sociaux sont une excellente façon de partager le contenu de votre blogue et d’interagir avec vos clients actuels et potentiels. Mais n’oubliez pas que le roi des médias sociaux demeure le blogue.

Vous aurez compris qu’il y a beaucoup  d’avantages à bloguer régulièrement. Alors, lorsque vous penserez à votre budget média pour 2016, n’oubliez pas de faire de la place au blogue. Et si vous avez besoin d’y voir plus clair, n’hésitez pas à me contacter. Je paye le café.

L’expression est sur toutes les lèvres. Les budgets publicitaires s’y déplacent à vitesse grand V.  D’ailleurs, aux États-Unis 86 % des entreprises de B2B prévoient mettre en place une stratégie de content marketing. Mais qu’en est-il vraiment ? À quoi ça sert ? Qu’est-ce que ça implique ? Quels sont les avantages ? Je tenterai de répondre à ces questions afin de démystifier le concept de marketing de contenu.

Une définition du marketing de contenu

« Le marketing de contenu est une stratégie marketing qui implique la création et diffusion, par une entreprise, de contenus médias afin d’acquérir de nouveaux clients. » – Wikipédia

J’ajouterais que contrairement au marketing traditionnel qui essaie de vendre un produit, le marketing de contenu tente plutôt de vendre l’idée d’un produit.

Par exemple, pour vendre des vélos, vous pouvez rédiger un billet de blogue sur les 8 avantages de se déplacer en bicycle et un top 10 des pistes cyclables du Québec.  Aussi, pourquoi ne pas créer une série de vidéos expliquant comment réparer soi-même son vélo ? Et sur vos comptes Facebook et Instagram, vous pouvez publier des photos de paysages prises à partir des meilleures pistes cyclables.

marketing de contenu

Le contenu est roi. (Image : smedio.com)

Quels sont les objectifs du marketing de contenu ?

Selon une étude de Content Marketing Institute réalisée auprès des entreprises qui l’utilisent comme outil Business To Business, les trois principaux objectifs sont les suivants :

– Augmenter la notoriété de la marque (84 %)

– Générer des leads (83 %)

– Développer l’engagement des clients (81 %)

Et les principaux défis sont :

– Créer du contenu engageant et intéressant (54 %)

– Produire du contenu de façon régulière (50 %)

– Créer du contenu varié (42 %)

7 types de contenus à créer et diffuser

  1. Billets de blogue
  2. Vidéos (tutoriel, test, animation, témoignage, envers du décor)
  3. Podcasts
  4. Livres blancs et guides pratiques
  5. Infographiques
  6. Photos
  7. Infolettres

Et le retour sur investissement dans tout ça ?

Selon HubSpot, le ROI du marketing de contenu est très intéressant.

– Les clients qui reçoivent des infolettres et courriels promotionnels dépensent en moyenne 82 % de plus.

– Une stratégie de contenu efficace permet de réduire en moyenne de 13 % le coût par lead.

– Le marketing de contenu amène 54 % plus de leads dans l’entonnoir de vente que le marketing traditionnel.

 

Vous songez à investir dans le marketing de contenu ? Je peux vous aider à créer une stratégie efficace et des contenus engageants. Discutons-en devant un bon café.